Monday, January 30, 2012

Horace Actes II-III


1)   Dans l'Acte II, en quoi est-ce que Horace se distingue de Curiace ? Quelles sortes de caractéristiques "classiques", ou de la grandeur, est-ce que Horace présente dans ces scènes et ses réactions au choix pour la bataille ? et Curiace ? Comment réagit-il ? Trouvez quelques passages clés pour montrer les différences entre les deux personnages.

Horace et Curiace, même que les deux sont des leaders de leurs pays, sont très différents. Horace est plus « grand » que Curiace avec ses réactions au choix pour la bataille. Par exemple, Horace accepte son rôle pour Rome avec grandeur. Il s'exprime, « J'accepte aveuglément cette gloire avec joie » (vers 492). Horace est fière de son pays et il parle des sujets de l'honneur, l'âme et la vertu. Ce sont des sujets classiques qu'un chef en pense. D'un autre côté, Curiace n'est pas du tout heureuse d'être confronté avec cette situation. Il n'accepte pas son rôle avec « joie » (comme Horace). Il est moins optimiste qu'Horace. Curiace dit, « Ce que veut mon pays, mon amitié le craint » (vers 390). C'est clair que Curiace n'est pas si aligné avec son pays qu'Horace. Au contraire d'Horace qui se comprend un prolongement de Rome, Curiace se voit homme, mais aussi chef : « J'ai le cœur aussi bon, mais enfin je suis homme » (vers 468).
 2)   Dans l'Acte III, en quoi est-ce que Sabine se distingue de Camille ? Regardez surtout le monologue de Sabine de la scène 1 et trouvez quelques mots ou passages clés qui caractérisent sa réaction à ces nouvelles. Ensuite faites un contraste avec Camille dans les scènes 3-4.  Laquelle vous semble plus "grande" ?

Sabine est plus grande et plus riche en réflexion que Camille. Surtout le monologue de Sabine de la scène 1, sa tête tourne. Elle répète deux fois : « En l'une je suis femme, en l'autre je suis fille » (vers 732, 756). Elle a beaucoup de trouble en trouvant le bon passage de suivre. Elle voit les deux côtés comme les deux mauvais choix. Elle exprime son dilemme, « Je sens mon triste cœur percé de tous les coups/Qui m'ôtent maintenant un frère ou mon époux » (vers 749-750). Même que Sabine est vraiment entre les deux cotés avec l'espoir qu'une résolution va arriver, Camille est perdue. Camille dit, « Moi, je n'espère rien » (vers 869). Elle est déprimée et elle n'a pas de l'espoir pour une résolution. Sans espoir, elle a l'air moins grande parce qu'elle n'a pas l'aisance d'une noblesse.

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