Portrait Precieux

Cette fille est dans son bel aymable. Elle a la petite oye de la teste brun et brillante et la peau bronzée. Sa taille est tout à fait bien élégante et elle est toujours tout à fait bien sous les armes. Cette fille parle nombreux interprètes de l’âme et elle les parles comme une femme de la société au centre de la belle galanterie qui explique chaque vision sans incertitudes. Sa voix dans ces interprètes de l’âme est lisse comme les filles des dieux d’un nourrisson des Muses. Pour s’amuser, elle danse proprement quand elle se jette sur la cadence sur le flambeau de la nuit, mais elle est aussi intelligente en lisant des maîtres muets. Comme chef doué,  elle prépare de la nourriture parmi les habitants du royaume de Neptune et les dieux des Egyptiens qui ne manquent jamais de l’assaisonnement nécessaire. 

La grandeur de Corneille

les idées de la grandeur:

Pas d’émotions

Héroïsme

Courage

Fidèle à La famille, le pays, le travail

Les choix difficiles

La guerre

hommes

Le titre de la pièce est Horace. Cette décision de Corneille veut dire que Horace est la plus importante et donc, le plus grand personnage dans l'histoire. Le texte suit cette idée d'Horace comme le plus grand. La grandeur, selon Corneille, est un mélange des caractéristiques qui se rendent une personne « grande ». Les hommes qui montrent le plus d'héroïsme et courage et qui cachent leur émotions sont grands dans les yeux de Corneille. Les hommes qui sont aussi fidèles à leur famille, leur pays et leur devoir sont très estimés. Y concernant le devoir, dans la pièce, Horace, les personnages qui suivent le chemin de la guerre et la volonté de battre pour son pays sont montrés les plus grands avec le langage « grand » et les autres actions et caractéristiques « grandes ».

Horace Actes II-III

1)   Dans l'Acte II, en quoi est-ce que Horace se distingue de Curiace ? Quelles sortes de caractéristiques "classiques", ou de la grandeur, est-ce que Horace présente dans ces scènes et ses réactions au choix pour la bataille ? et Curiace ? Comment réagit-il ? Trouvez quelques passages clés pour montrer les différences entre les deux personnages.

Horace et Curiace, même que les deux sont des leaders de leurs pays, sont très différents. Horace est plus « grand » que Curiace avec ses réactions au choix pour la bataille. Par exemple, Horace accepte son rôle pour Rome avec grandeur. Il s'exprime, « J'accepte aveuglément cette gloire avec joie » (vers 492). Horace est fière de son pays et il parle des sujets de l'honneur, l'âme et la vertu. Ce sont des sujets classiques qu'un chef en pense. D'un autre côté, Curiace n'est pas du tout heureuse d'être confronté avec cette situation. Il n'accepte pas son rôle avec « joie » (comme Horace). Il est moins optimiste qu'Horace. Curiace dit, « Ce que veut mon pays, mon amitié le craint » (vers 390). C'est clair que Curiace n'est pas si aligné avec son pays qu'Horace. Au contraire d'Horace qui se comprend un prolongement de Rome, Curiace se voit homme, mais aussi chef : « J'ai le cœur aussi bon, mais enfin je suis homme » (vers 468).

 2)   Dans l'Acte III, en quoi est-ce que Sabine se distingue de Camille ? Regardez surtout le monologue de Sabine de la scène 1 et trouvez quelques mots ou passages clés qui caractérisent sa réaction à ces nouvelles. Ensuite faites un contraste avec Camille dans les scènes 3-4.  Laquelle vous semble plus "grande" ?

Sabine est plus grande et plus riche en réflexion que Camille. Surtout le monologue de Sabine de la scène 1, sa tête tourne. Elle répète deux fois : « En l'une je suis femme, en l'autre je suis fille » (vers 732, 756). Elle a beaucoup de trouble en trouvant le bon passage de suivre. Elle voit les deux côtés comme les deux mauvais choix. Elle exprime son dilemme, « Je sens mon triste cœur percé de tous les coups/Qui m'ôtent maintenant un frère ou mon époux » (vers 749-750). Même que Sabine est vraiment entre les deux cotés avec l'espoir qu'une résolution va arriver, Camille est perdue. Camille dit, « Moi, je n'espère rien » (vers 869). Elle est déprimée et elle n'a pas de l'espoir pour une résolution. Sans espoir, elle a l'air moins grande parce qu'elle n'a pas l'aisance d'une noblesse.